La Juventus attaque en effet la saison 2011-2012 avec un nouvel entraîneur, Antonio Conte, et recrute Andrea Pirlo. Dans la ville de Turin, le club est le deuxième en termes de supporters après le Torino Football Club considéré au départ comme moins élitiste et plus populaire. La vedette hongroise bianconera Ferenc Hirzer rentra alors au pays, et c'est à cette époque que l'on vit débarquer dans la société les premiers oriundi[note 17] du club, Raimundo Orsi en 1928 puis Renato Cesarini l'année suivante. L'actuel entraîneur de la Juventus est Maurizio Sarri, nommé à sa tête le 16 juillet 2014[135], en remplacement de Massimiliano Allegri. On commença véritablement à appeler le club ainsi, en référence à la longévité de la Juve (un des plus vieux clubs du pays), ainsi que par ses scudetti acquis durant les années 1930 grâce à des trentenaires d'expérience (les joueurs Luigi Bertolini, Giovanni Ferrari et Luis Monti avaient tous plus de 30 ans)[214]. ». « À la Juventus, gagner n'est pas important. Le 3 avril 2010, la direction de la Juventus annonce avoir signé un nouveau contrat avec BetClick Ent. Le maillot extérieur de la Juventus furent tout d'abord blancs lors de la seconde moitié du XXe siècle (ainsi qu'en 1998-99 et 2002-03), puis noirs au début des années soixante (ainsi qu'en 1990-91, 2001-02, 2002-03, 2006-07 et 2012-13), ou encore bleu ou parfois jaunes et bleus (couleurs de la ville de Turin), ces dernières couleurs accompagnant les grandes victoires européennes (de la fin des années soixante-dix aux quatre-vingt-dix). ». En face, le Toro revendique quant à lui avec fierté un esprit « plus turinois et piémontais », ainsi que plus prolétaire et populaire[297], dans une ville un peu plus acquise à la cause du Torino, la Juve, elle, étant plus soutenue dans le reste du pays qui entretient aussi une certaine défiance à son égard[298]. En effet, à la suite du refus de l'Ajax de prendre part à la Coupe intercontinentale[95], c'est la Juve qui se rend donc à Rome le 28 novembre 1973 pour y affronter les argentins de l'Independiente (défaite 1-0 pour sa première compétition intercontinentale). Le club enchaîne ensuite les mauvais résultats et décide de renforcer son attaque lors du mercato avec le prêt d'Alessandro Matri en provenance de Cagliari Calcio, mais elle ne réussira pas à se qualifier pour la ligue des champions en terminant septième, Luigi Del Neri est alors remercié pour faire place a Antonio Conte. Le club ne joue au départ que quelques matchs amicaux non officiels contre des équipes locales turinoises, tout d'abord au Parco del Valentino en 1897, puis au Parco del Cittadella l'année suivante. Cette rivalité (donnant lieu à un des matchs les plus intenses et suivis d'Europe) prend sa source dans les années 1960 mais s'accentue véritablement à partir des années 1990[300] et la remontée en puissance de l'Inter. La Juventus finit troisième du Championnat, derrière l'Inter et l'AS Roma, elle se qualifie donc pour le 3e tour préliminaire de la Ligue des champions. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En mai 2006, la Juventus (avec la Lazio, la Fiorentina, le Milan et la Reggina) sera au centre d'un scandale majeur concernant la désignation des arbitres dans le championnat italien. À la fin de la saison 1901, le club se voit remettre une bannière ainsi qu'une médaille de la part de la municipalité de la ville de Turin, lors d'un tournoi entre équipes piémontaises et liguriennes (Gonfalone e Medaglia del Municipio)[4]. La Juventus FC entretient une grande rivalité avec deux clubs, dont le premier étant avec l'autre club de la ville de Turin, le Torino Football Club[296]. La saison suivante, l'effectif termine à la 4e place de la Serie A 1958-1959, mais participe pour la première fois à la C1 (Coupe des clubs champions européens 1958-1959), voyant la Juventus être éliminée dès les 16e-de-finale par le Wiener Sport-Club[note 29] (À la suite de ce revers, combiné à un autre à la dernière minute de la rencontre en championnat, un 5-4 à domicile contre le Milan[72], le tout sur un fond de mésentente avec Omar Sívori, le serbe Ljubiša Broćić fut limogé puis remplacé par son assistant Teobaldo Depetrini [73],[74]). Pour tous, leur terrain d'entraînement se situe au Juventus Center, centre sportif propriété de la société bianconera située à Vinovo (près de Turin). %PDF-1.5 Un an plus tard, à la fin de la saison 1906, le club est finaliste du championnat mais manque de disparaître. Le club abandonne définitivement sa section omnisports pour se consacrer uniquement au football et change son nom en « Foot-Ball Club Juventus » en 1899[21] et s'installe ensuite au Stadio Piazza d'Armi (situé dans le quartier de Crocetta) pour ses matchs. Beautiful, sweet and emotional! C'est également au cours de l'année 1927 que la Juve prend part à sa première coupe d'Italie, remportant son premier match contre Cento sur le score de 15-0, la plus grosse victoire du club bianconero. Ces raisons font de la Juventus l'un des clubs de football les plus populaires au niveau mondial[8]. C'est donc alors que le défenseur turinois (et l'un des créateurs du club) Carlo Vittorio Varetti prend le contrôle du club et y reste jusqu'en 1910. Au sortir du conflit (période durant laquelle de très nombreux joueurs de la société juventina durent partir au front en tant que soldats ou gradés, et en ressortirent parfois décorés, ou parfois tués, comme l’attaquant Benigno Dalmazzo, le milieu de terrain Gino Goggio[34] ou encore deux des fondateurs du club Luigi Forlano et Enrico Canfari, lui qui avait rédigé la première histoire du club, Storia del Foot-Ball Club Juventus di Torino, sortie en 1915, quelques mois avant sa mort[35]), c'est Corrado Corradini qui prend les rênes du club, période durant laquelle on note une légère amélioration des résultats du club en championnat. Avant 2004, le club usait d'un emblème quelque peu similaire, avec la silhouette d'un taureau noir superposé sur un écu doré, surmonté d'une couronne murale dorée, le tout entouré d'or autour de l'écu, lui-même surmonté de deux étoiles dorées. « Quand tu es de la Juve, tu l'es pour toujours. Le 26 mai Didier Deschamps démissionnera du poste d'entraîneur de la Juventus et sera remplacé le 4 juin par Claudio Ranieri. Les numéros deviennent blancs et inscrits dans un carré noir au dos, le tout avec short blanc et chausettes blanches, où leur fut ajoutées deux bandes noires) arrivent durant la période « trapattonienne », où les maillots deviennent plus cintrés avec des numéros blancs sur fond noir, et où le maillot voit apparaître pour la première fois en 1979 le nom de l'équipementier. La Vieille Dame fut la première à arborer sur son maillot une seule étoile d'or cousue sur le maillot en 1958 (une étoile d'or équivaut à 10 championnats nationaux remportés), la première à en mettre une seconde en 1982, puis une troisième en 2012 (provoquant une controverse à cause des deux titres retirés). 14:46. Le 19 mai 2010, Giuseppe Marotta (qui avait permis à la Sampdoria d'accrocher la 4e place synonyme de Ligue des Champions) est nommé officiellement nouveau directeur sportif général et prend ses fonctions le 1er juin[114] avec Fabio Paratici comme bras droit. À l'été 1999 débarque au sein du club l'international néerlandais Edwin van der Sar, qui devient le tout premier gardien de but étranger de l'histoire du club[109]. Bien qu'elle ne favorise pas l'unification statistique des tournois, c'est-à-dire que le nom de la Coupe intercontinentale n'a pas été changé, la FIFA est la seule organisation ayant compétence mondiale sur les confédérations continentales et, par conséquent, la seule à pouvoir conférer un titre de ce niveau, ergo, le titre attribué par la fédération mondiale elle-même aux vainqueurs de la Coupe Intercontinental est officiellement un titre mondial de la FIFA. Le travail de Boniperti porte tout de suite ses fruits puisque les bianconeri, après un quarts-de-finale lors de la toute nouvelle Coupe UEFA, terminent champions d'Italie de la Serie A 1971-1972, pour un nouveau trophée en vitrine attendu à Turin depuis cinq ans. | Jusqu'au début des années 2010, le troisième maillot reprend les graphismes de la tenue extérieure de la saison précédente. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Lors des huitièmes de finale de la ligue des champions 2018-2019 battu 2-0 par l'Atletico Madrid au Wanda Metropolitano, un Cristiano Ronaldo des grands soirs permet à la Juve de se qualifier sur le score de 3-0 au retour. Le tableau ci-dessous résume les différents budgets prévisionnels de la Juventus FC saison après saison. Depuis l'instauration des entraîneurs au club avec l'arrivée des Agnelli en 1923, 46 entraîneurs (31 italiens et 15 étrangers) durant 48 périodes différentes se sont succédé à la tête de la Vieille Dame. Le 25 août 2007, pour son grand retour en Serie A, la Juventus écrase Livourne sur le score de 5-1 (triplé de David Trezeguet, doublé de Vincenzo Iaquinta). Cette rivalité, également partagée par d'autres clubs italiens, provient de l'opposition entre les deux sélections nationales, et est accentuée par le drame du Heysel survenu en 1985[note 60]. Le club compte une base de supporters considérée comme l'une des plus importantes au monde[7] en raison de l'origine socio-économique des sympathisants du club[note 3] et de leur présence massive dans toutes les régions du pays et, à l'étranger, principalement dans les pays avec une présence significative d'immigrants italiens. Une légende qui est sortie d'un lycée de Turin, et qui a fini par conquérir neuf, dix millions de tifosi en Italie et surement autant à l'étranger, connu comme un nom, un maillot, et des couleurs connues partout dans le monde. Edoardo se nomme lui-même président du club, et c'est cette année-là que l'on voit apparaître pour la première fois un entraîneur professionnel (souhait d'Agnelli voulant une structure plus organisée), dont les premiers en date furent les Hongrois Jenő Károly entre 1923 et 1926[43] (Il signa un contrat avec le club de 2500 lires plus une semaine de congé payé, avec en bonus une prime de 10000 lires en cas de victoire du championnat) puis József Viola de 1926 à 1928. Une fois le colis reçu, Savage se mit de suite en contact avec une fabrique de textile de Nottingham et commanda un nouveau lot de vieux maillots usés roses et noires. Le premier match officiel entre les deux formations turinoises eut lieu le dimanche 13 janvier 1907 (seulement un an après la création du Torino) lors d'un match de championnat disputé au Stadio Motovelodromo Umberto I, match qui se solda par une victoire du Toro par 2 buts à 1 (c'est d'ailleurs durant un derby turinois que la Juve enregistra la plus lourde défaite de son histoire, un 8-0 à domicile le 16 novembre 1911). Vers le début des années 1980, d'autres groupes seront créés : Gioventù Bianconera, Area Bianconera ou encore les Indiens. Un championnat de Serie B remporté lors de la saison 2006-07 est également à ajouter au palmarès de la Vieille Dame. S'ensuivit alors un exode de plusieurs de ses meilleurs joueurs. À la fin de cette saison catastrophique (le club sera l'une des équipes ayant eu le plus de joueurs blessés de toute l'Europe durant la saison), la Juve finira 7e, une place indigne pour un tel club mais méritée au vu des piètres performances de ses joueurs durant toute la saison. Luchini and Bruel give a great interpretation, served by both excellent script and direction.A history of friendship, a comedy with a little bit of sadness, a remarkable film For an optimal appreciation it must be watched with subtitles, not dubbed. Dans une nouvelle période de gloire, les turinois, après deux victoires de suite en Coupe de l'Amitié, et cette fois ci entraînés par Renato Cesarini (ancien grand joueur juventino), entament cette saison 1959-1960 avec succès. Pour la campagne 2017-2018, la Juventus fait face à la concurrence de Naples sur la scène nationale. Plusieurs grands noms, parfois passés par le centre de formation, ou bien recrutés en Italie et à l'étranger ont marqué l'histoire de la Juve, dont beaucoup d'entre eux furent également internationaux. « À la Juve s'acquiert une habitude mentale de sacrifice qu'il n'y a nulle part ailleurs. La seconde étoile est ajoutée en 1982-83. Seuls trois présidents furent d'origine étrangère, à savoir les suisses Alfred Dick de 1905 à 1906 (président du premier Scudetto du club en 1905) et Giuseppe Hess (entre 1913 à 1915, bien que naturalisé italien), ainsi que le Français Jean-Claude Blanc de 2009 à 2010[130] (limogé pour résultats décevants). La Juventus détient également le record du nombre de victoires en Supercoupe d'Italie (8), ce qui porte donc à un total de 57 trophées nationaux dans des compétitions nationales (record italien), et totalise 11 victoires dans des tournois internationaux (deuxième après l'AC Milan), ce qui en fait donc le club italien ayant le plus grand nombre de titres officiels (68). La première décennie du club vit bien arriver quelques joueurs suisses (du fait de la proximité du Piémont avec la Suisse et de l'influence du président suisse du club en 1905, Alfred Dick) ou britanniques, mais restant minoritaires face aux italiens. Au cours de cette saison, la Juve remporte 10 succès de suite[note 20] (record qui tiendra durant 74 ans), puis atteint pour la première fois les demi-finales de la Coupe d'Europe centrale, contre les tchécoslovaques du Slavia Prague. En 1923 est recrée une section omnisports de la société (Ltd), la Juventus – Organizzazione Sportiva S.A., appelée également la Juventus Organizzazione Sportiva Anonima (qui fut active jusqu'en 1949). En effet, ce dernier a dû être interrompu le 7 août 2020, après qu'un cas de Covid-19 a été détecté au sein des équipes de production[2]. Cette liste est nommée Le 50 leggende bianconere[150]. A movie to savour and cherish! Le tribunal requerra une relégation en Serie C (troisième division) ainsi qu'une pénalité de 6 points, puis sera finalement rétrogradée en Serie B avec une pénalité de 17 points puis, finalement, de 9 points. À la suite de cette dissidence avec la fédération, quelques équipes décident de faire partie de ce Campionato Federale F.I.F., dont la Juventus qui remporte les championnats fédéraux de 1908 (ainsi que celui de 1909[31]) qui sont non reconnus officiellement par la FIGC. », — Giovanni Agnelli, Grande Storia della Juventus, 2007. À noter que plusieurs joueurs ont passé la totalité de leur carrière (ou presque) de footballeur au sein de l'effectif turinois, comme Carlo Bigatto[143] (entre 1913 et 1931), Gianpiero Combi[144] (entre 1921 et 1934), Carlo Parola[145] (entre 1939 et 1954)[note 42], Giampiero Boniperti[146] (entre 1946 et 1961), Giuseppe Furino[147] (entre 1969 et 1984)[note 43], Roberto Bettega[148] (entre 1970 et 1983)[note 44], ainsi que Gaetano Scirea[149] (entre 1974 et 1988)[note 45]. La Juve y prend part et finit seconde. ». Selon Agnelli, cette nouvelle identité capture l'ADN de la Juventus en rappelant les lignes noire et blanche du maillot, le scudetto de la victoire ainsi que la lettre « J » emblématique du club[217]. En 2004-05 apparaît un col opale sur un maillot à sept bandes, qui passe ensuite à neuf l'année suivante (où une petite bande tricolore apparaît sur le dos du col), puis à onze en 2006-07. En outre, dans le cadre des retransmissions expérimentales de la RAI (qui émettront officiellement le 3 janvier 1954[58]), la rencontre de Serie A de la saison 1949-50 Juventus FC — AC Milan du 5 février 1950 fut l'objet du premier direct télévisé national (commenté par Carlo Balilla Bacarelli). Le club est tout d'abord fondé sous le nom de Sport Club Juventus en 1897 en tant que club omnisports, avant que seule la section footballistique ne subsiste au bout de deux années. Cette rivalité s'accentue vers la fin des années 1980 et au début des années 1990 lorsque le Milan se remet à enchaîner les victoires en Serie A et dans les compétitions européennes[307]. En 1973-1974, le club juventino achète le futur grand défenseur central Claudio Gentile et Zoff termine second au classement du Ballon d'or 1973[94], pour une saison où le club ne termine cette fois que vice-champion national, mais dispute pour la première fois de son histoire un match officiel contre une équipe non européenne. Pour 2012-13, les bandes redeviennent larges et réapparaît les numéros noirs sur carré blanc[232]. Ce fut à partir de la première moitié des années trente (avec ses 5 titres remportés consécutivement), que le club commença à être aimé dans toute l'Italie (n'étant auparavant soutenu qu'à Turin, voir au mieux dans le Piémont). Depuis 1897, la Juventus a disputé ses rencontres à domicile dans différents stades[174] : Le centre d'entraînement de la Juventus Football Club est appelé le Juventus Center[175], centre sportif situé dans la petite ville de Vinovo (tout près de Turin à 14 km au sud-ouest), et sert pour l'équipe première du club et les autres catégories minimes. », — Guido Luguori et Antonio Smargiasse, Calcio e Neocalcio: Geopolitica e prospettive del football in Italia, 2003. Les anciens sont restés et une grande équipe est alors construite, capable de battre l'Inter de Milan, l'AC Milan ou l'AS Roma. | La dernière modification de cette page a été faite le 27 septembre 2020 à 16:21. Gino Olivetti (au club entre 1920 et 1923) fut le dernier président bianconero de l'avant-Agnelli. Lors de la dernière saison de ce quinquennat, c'est le milieu gauche Carlo Bigatto et Benè Gola qui prennent le relais de Carcano sur le banc à la mi-saison (officiellement licencié du club pour « motifs personnels », mais en réalité, selon certaines sources pour des rumeurs sur sa présumée homosexualité devenues trop insistantes pour être tolérée dans une Italie encore traditionnelle sous l'égide d'un régime fasciste prônant la virilité[50]), dans un effectif d'expérience, mais qui sort tout de même des jeunes formés au club, Guglielmo Gabetto et Pietro Rava, ajoutés à l'achat du jeune prometteur Alfredo Foni. Ce titre marque une page de l'histoire de l'équipe, dès lors surnommée la « Juve Operaia »[86],[87] (la Juve travailleuse en français). <> La Juventus remporte le championnat d'Italie et la Coupe d'Italie. La Juventus Football Club (du latin iuventūs : jeunesse[note 1], prononcé : [iuˈvɛntus]) ou JFC, désignée aussi Juventus Turin ou plus familièrement appelée la Juve (prononcer : [ˈiuːve]), mais également surnommée la Vecchia Signora (la Vieille Dame) ou bien encore les Bianconeri (les Blanc et Noir) en italien, est un club de football professionnel italien (également S.p.A., société par actions) basé dans la ville de Turin, dans la région du Piémont, dans le nord de l'Italie. I love these actors, they are as great as ever. Le club de Naples est souvent considéré comme le seul club méridional à pouvoir rivaliser avec la Juve, qui possède de nombreux supporters au Sud de la péninsule. La Juventus s'étant rapidement dès sa création montrée compétitive, d'abord dans le Piémont, puis plus tard au niveau national, elle entretint donc bien entendu tout au long de son histoire des rivalités avec d'autres équipes du pays plus ou moins fortes selon l'époque (selon les cycles en cours) avec les clubs forts du moment, donnant lieu à des rivalités aussi bien sur le plan sportif et médiatique qu'historique. Le derby entre les deux clubs est appelé le derby della Mole (en référence à la Mole Antonelliana, monument en maçonnerie de 167,5 m qui symbolise la ville de Turin), ou également le derby de Turin (en italien : Derby di Torino). D'autres grands entraîneurs ont marqué l'histoire de la Juventus, comme Marcello Lippi avec 13 titres entre 1994 et 1999 puis 2001 et 2004[134], Carlo Carcano (surnommé « l'entraîneur aux mille victoires ») avec quatre titres entre 1930 et 1934[134] (seul entraîneur à avoir remporté quatre championnats consécutifs dans l’histoire du football italien), Fabio Capello avec deux titres entre 2004 et 2006[134], Heriberto Herrera et sa Juve Operaia avec deux titres entre 1964 et 1969[134] (premier entraîneur non européen du club à remporter un trophée), ou encore Dino Zoff avec deux titres entre 1988 et 1990[134]. Plusieurs joueurs de la Juventus (officiellement 6 mais officieusement 7 si l'on compte Fabio Cannavaro en 2006[note 47]) ont obtenu le Ballon d'or lorsqu'ils évoluaient au club. La neuvième saison du Meilleur Pâtissier, est une émission de télévision franco-belge de concours culinaire, diffusée sur M6 à partir du 30 septembre 2020, et sur RTL TVI à partir du 5 octobre 2020.Elle est présentée par Julia Vignali et tournée au château de Groussay à Montfort-l'Amaury Madame remporte ensuite le second titre sur les cinq en 1931-32 avec 54 points, pour 89 buts inscrits et 38 encaissés (dont 65 buts marqués à domicile, record absolu du football italien), et finit meilleure attaque du tournoi. — Partie de la déclaration d'Eugenio Canfari lorsqu'il était président, en 1898[226]. ». Vainqueur de son premier titre officiel en 1905, le club détient le record du nombre de championnats remportés (36 , synonyme de trois étoiles d'or sur le maillot)[118] et le record du plus grand nombre de championnats remportés d'affilée (neuf entre 2012 et 2020). Une anecdote raconte qu'à l'époque où évoluait le défenseur Antonio Bruna, il avait du mal à concilier son statut de joueur au club et d'employé dans les usines FIAT[38], son patron ne l'autorisant pas à aller s'entraîner Le meilleur reste à venir est une comédie dramatique française écrite et réalisée par Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, sortie en 2019. Ce groupe fut placé dans la Curva Nord, à l'autre bout des Fighters, et fut très bien organisé, jusqu'en 1998 où ils se renommeront les Viking et prendront le contrôle de la Curva Nord. Sort by: Filter by Rating: 8 /10. Le premier vrai groupe structuré de supporters de la Juventus Football Club arrive vers le milieu des années 1970. En 1960-1961, le club du Piémont, toujours aidé de son trio offensif très prolifique, fait son retour en C1 (à nouveau éliminé en 16e-de-finale cette fois-ci par le CDNA Sofia), voit deux de ses joueurs figurer dans le classement du Ballon d'or 1960[79] (7e place avec 5 votes pour John Charles, dans le classement depuis maintenant quatre ans d'affilée, et 9e place avec 3 votes pour Omar Sívori), et remporte à nouveau le scudetto (remportant deux fois de suite le championnat pour la première fois depuis la saison 1931-1932). En effet, à la suite des conséquences de la guerre dans laquelle l'Italie fasciste était impliquée, la ville de Turin est fortement bombardée par les Alliés durant l'hiver 1942 (la ville étant devenue une cible à cause de sa production industrielle, comme la Fiat, qui produisait des automobiles, chars et avions pour l'effort de guerre de l'Axe).